
Le saviez-vous ? sur les hauteurs de Vendôme, cité médiévale chargée d’histoire, se trouvent des vignes. Un vignoble qui s'étend jusqu'à Château-du-Loir, sur la partie amont de la rivière le Loir et qui suit ses méandres bénéficiant ainsi de sa fraîcheur. Y est notamment planté du pineau d’Aunis, un très ancien cépage local, qui donne des vins de « niche » dotés d'une véritable typicité.
Photo de Une © Pierre d'Ornano/Aeternus.fr

Des vins loin de la doxa d'une mondialisation réductrice
Le vignoble des Coteaux du Vendômois, qui appartient à la sous-région Touraine, est l'un des plus petits du Val de Loire, et des plus méconnus. Pourtant, ces vins de la vallée du Loir étaient déjà vantés par l’enfant du pays, Ronsard, mais aussi le Chinonais Rabelais. Aujourd’hui, de part leurs profils gustatifs originaux, reflet d’une véritable culture viticole locale, ils relèvent d'un crédo à l'opposé de la doxa d’une mondialisation réductrice, banalisant les vins. Les vignerons qui revendiquent l'appellation produisent des vins rouges, des blancs mais aussi des vins gris, également appelés localement « gris poivré » ou « œil de gardon » sans doute à cause de leur robe couleur rose pâle, saumon-gris. Pour ceux-là, le pineau d’Aunis règne en maître.
La carte d’identité des Coteaux-du-Vendômois

Un terroir vecteur de minéralité et de typicité
Située au nord de la Touraine, dans le Loir-et-Cher, l’aire de délimitation de l’appellation* Coteaux-du-Vendômois s’étend sur 28 communes. On se situe entre les villes de Vendôme et de Montoire, distantes de 15 kilomètres, au "pays des boucles du Loir". La surface plantée en vignes représente 350 hectares, dont cent, d'un seul tenant, localisés sur le plateau de la commune de Thoré-la-Rochette. La proximité immédiate du Loir, qui génère un microclimat, associée aux influences maritimes océaniques créent des conditions climatiques favorables à la croissance et à la maturation des baies de raisin. Enfin, le terrain est en majorité composé de sols argileux riches en silex, dont de petits silex roses, avec en profondeur un socle calcaire du Turonien ou des affleurements calcaires. Un terroir qui apporte de la minéralité et leur typicité aux vins de l'appellation.
*L'aire géographique de production des Coteaux-du-Vendômois est définie par le territoire des communes suivantes du département de Loir-et-Cher : Artins, Azé, Couture-sur-Loir, Les Essarts, Fontaine-les-Coteaux, Houssay, Lavardin, Lunay, Marcilly-en-Beauce, Mazangé, Montoire-sur-le-Loir, Naveil, Les Roches-l'Evêque, Saint-Martin-des-Bois, Saint-Ouen, Saint-Rimay, Sougé, Ternay, Thoré-la-Rochette, Tréhet, Troo, Vendôme, Villavard, Villedieu-le-Château, Villerable, Villiersfaux, Villiers-sur-Loir.
Source : Institut National de l'Origine et de la qualité (INAO).
De l’élégance du pinot noir au plus rustique et séduisant pineau d’Aunis
Les cépages principaux sont, pour les vins rouges le pineau d’Aunis (au minimum 40 % de l'encépagement), le cabernet franc, le pinot noir (10 % au minimum et 40 % au maximum pour chacun). Peut s’ajouter le gamay (10 % maximum de l’encépagement). Seul le pineau d’Aunis est autorisé pour les gris. Les vins blancs doivent avoir comme cépage principal le chenin B, dont l’autre nom local est le pineau de la Loire. L’encépagement peut comprendre 20%, au maximum, de chardonnay en cépage complémentaire.
125 ha en AOC Coteaux-du-Vendômois
Sur les 350 hectares de vignes, 125 sont revendiqués en AOC Coteaux-du-Vendômois, une grosse centaine en IGP Val de Loire, le reste en vins de France. L'AOC Coteaux-du-Vendômois a adhéré à Interloire en 2017.
« Aujourd’hui, 8 producteurs indépendants**, metteurs en marché, revendiquent l’appellation, auxquels s’ajoute la Cave Coopérative du Vendômois. Deux exploitations sont en viticulture bio, une seule en biodynamie. La production moyenne totale de vin en AOC Coteaux-du-Vendômois s’établit à 3 500 hl. Les deux principaux producteurs sont la cave du Vendômois (50% du volume total) et le Domaine Colin (25%) » déclare Nicolas Parmentier, vigneron associé au domaine de Cocagne et directeur de la cave coopérative.
Un vin local qui a su franchir les frontières
Ce vin local a su franchir les frontières les plus lointaines. Le volume export, cumulé, de l’ensemble des vignerons, atteint 100 000 cols (750 hl). La 1ère destination export est les Etats-Unis, puis le Canada, la Belgique, un peu l’Allemagne et de façon plus anecdotique l’Italie et l’Espagne. Enfin, on peut en trouver en Corée et au Japon.
** Le Domaine Colin à Thoré-la-Rochette, la Cave Jumert à Villiers-sur-Loir, Les Caves Baudet à Houssay, le Domaine J Martellière à Montoire-sur-le-Loir, Ariane Lesné (SARL Ariane & Co) à Villiers-sur-Loir, le Domaine Brazilier à Thoré-la-Rochette, Les Caves aux Caux à Thoré-la-Rochette, le Domaine du Four à Chaux à Thoré-la-Rochette.
Focus sur le pineau d’Aunis
Cépage emblématique de l’appellation, qui aurait été connu dès l’antiquité, le pineau d’Aunis est mentionné historiquement en Anjou dès le IXe siècle. Son nom provient du lieu-dit « Aunis », sis à Dampierre, non loin de la ville de Saumur. Au moyen-âge des moines d’un prieuré y cultivaient de la vigne. En 1246, Henri III Plantagenêt fit importer en Angleterre du vin issu de ce plant. Le pineau d'Aunis fait son apparition dans le Vendômois en 1920. On le trouve également sous les noms de chenin noir dans la vallée de la Loire et en Californie, pinot d’Aunis, plant d’Aunis, pineau rouge dans le Maine-et-Loire, plan de Mayet dans la Sarthe, gros véronais dans le Loir-et-Cher.

Le pineau d’Aunis figure, dans plusieurs appellations du Val de Loire, comme cépage principal ou secondaire. C’est un cépage de vigueur moyenne. Les grappes, de forme cylindro-conique, sont de dimension moyenne, les baies ovoïdes et de petite taille. Leur peau est semi-épaisse, noire, pruinée. Il peut être sensible à la brunissure, une maladie de la vigne provoquée par un carence de potassium dans le sol, à une surproduction ou à une taille insuffisante. La brunissure, qui provoque un brunissement puis la chute des feuilles de vigne, apparaît à la véraison notamment sur les pieds de vignes surchargés. Une mise en production trop précoce de jeunes vignes peut également en être la cause. Il est aussi exposé à la pourriture grise. Peu sensible à l’oïdium, il craint le mildiou et la chlorose (carence en fer). Sa conduite est donc délicate et réclame beaucoup de rigueur de la part des viticulteurs tout au long du cycle végétatif. Enfin, il affectionne particulièrement le sol argilo-calcaire et s’accommode également de présence de calcaire, dans la mesure où il n’est pas en excès.

Un conservatoire sis à Montrieux
Afin de préserver ce patrimoine variétal unique, et d’acquérir une meilleure connaissance de ce cépage pour en améliorer la culture, un conservatoire du pineau d'Aunis a été créé dans les années 1995-1996. Installé sur les hauteurs de Montrieux sur la commune de Naveil (Loir-et-Cher), la parcelle compte 350 lignées de pineau d’Aunis. Les pieds ont été prélevés dans les départements du Loir-et-Cher, du Maine-et-Loire, d’Indre-et-Loire et de la Sarthe.
Une qualité de production uniforme
Nous avons dégusté une trentaine de vins de l’AOC Coteaux-du-Vendômois. Ils se caractérisent par une belle diversité gustative et affichent une qualité de production uniforme qui se double d’un excellent rapport qualité prix.

Nous allons évoquer dans ce 1er article deux cuvées à base de pineau d’Aunis de la Cave coopérative du Vendômois, représentatives de l'appellation. Les raisins d'un de ces vins (Le Cocagne Gris) proviennent du Domaine de Cocagne. Un prochain article sera dédié au Domaine Colin et à la Cave Jumert, avec une sélection de quatre cuvées.

La Cave du Vendômois, entre coop. et domaine privé
Fondée en 1929 et forte, à l’époque, de 87 adhérents, la Cave du Vendômois, dirigée par Nicolas Parmentier (lire l'encadré ci-dessous), ne compte plus que 3 apporteurs aujourd’hui : le président de la cave, Bruno Renard et son fils Florian Renard de l’EARL de Villechatain à Villiers-sur-Loir (13 ha de vignes) ; Samuel Deniau et Nicolas Parmentier, au sein du Domaine de Cocagne à Villiers-sur-Loir (un peu plus de 110 ha) ; Roger Gauthier, viticulteur âgé aujourd’hui de plus de 80 ans, qui exploite toujours une dizaine d’ares.

La collecte totale provient de 125 hectares de vignes. Il sort des chais de la coopérative des IGP Val de Loire, des AOC Coteaux-du-Vendômois et des Muscadet Sèvre et Maine (50% de vins rouges, 20% de blancs et 30% de gris). La cave produit également des mousseux (20 000 cols en moyenne) en méthode traditionnelle.
Une conduite raisonnée
Si, à l'exception du Domaine Colin (en Bio et Biodynamie), les exploitations viticoles apporteuses n’affichent pas le label Bio, la gestion de la conduite des vignes est raisonnée, c’est-à-dire que l’usage notamment des herbicides, est minime. La pratique de l’enherbement naturel inter-rangs est aussi répandue.


Concernant les densités « 1/3 des surfaces sont à 4 700 pieds/ha, soit des rangs de 2,10 mètres espacés d’1 mètre sur les rangs et les 2/3 entre 6 700 et 7 000 pieds/ha, donc avec des vignes de 4,4 mètres sur 1 mètre » précise Nicolas Parmentier. Pour ce qui est des tailles on trouve, en fonction des cépages et de la localisation des parcelles du Guyot simple, des tailles à demi-baguettes - taille courte avec des départs à 3 ou 4 yeux, et des cordons de Royat. Enfin, des vendanges en vert peuvent être décidées « lorsque c’est nécessaire, pour gérer le rendement et l’étalement de la vendange. » Ajoutons qu’à l’exception des vendanges tardives, les récoltes se font à la machine.

Le parcours atypique d’un directeur de cave vigneron

Sorti diplômé de l’ESA (Ecole supérieur d’agriculture d’Angers) en 2002 avec un Master Vintage de viticulture, œnologie et commerce du vin, Nicolas Parmentier, dont la ferme intension était de devenir vigneron, est embauché en 2003 comme salarié à la Cave du Vendômois, au poste de directeur. « En sortant de l’école je souhaitais devenir vigneron. Je n’avais jamais pensé être directeur d’une cave coopérative » déclare-t-il. « Etant directeur de la cave et trouvant qu’il y avait un potentiel tant dans les vins que dans l’entreprise, je voulais produire des choses plus abouties, avec des sélections de parcelles et des maturations de raisins plus poussées. » La cave lui a offert le moyen de réaliser ses objectifs.
Le Domaine de Cocagne comme assise vigneronne
En 2008, il décide de racheter 10 hectares de vignes à un adhérent de la cave coopérative qui souhaitait arrêter la culture de la vigne. De la récolte de 2009 à celle de 2017, il cultive seul ses 10 hectares de vignes, en plus de son activité salarié. Puis, en 2016, il passe à une étape supérieure et reprend avec Samuel Deniau le Domaine de Cocagne. Un an après les 10 hectares de vignes sont transférés à l’exploitation commune, et tous les raisins sont apportés et vinifiés à la coopérative. Aujourd’hui, avec ses 110 hectares de vignes, le Domaine de Cocagne représente les trois quarts des vins produits à la cave du Vendômois, dont, notamment, les cuvées Le Cocagne. L’exploitation fait partie, depuis janvier 2009, du syndicat professionnel des Vignerons Indépendants.

Le rouge et le gris... de la cave du Vendômois

La Cuvée Prestige Rouge 2018 – AOC Coteaux du Vendômois
Un vin typé Val-de-Loire
La cuvée prestige est un assemblage composé de pineau d’Aunis (51 %), cabernet franc (26 %) et de pinot noir (23%). Les cépages ont en moyenne 50 ans d’âge. Les raisins proviennent d’une multitude de parcelles, assez précoces, localisées sur Thoré-La-Rochette, un peu sur Naveil et Villiersfaux pour les pineaux d’Aunis, essentiellement Naveil, les Cambières et les Clos-du-Veau pour les pinots noirs, et Naveil pour le cabernet franc. Pour ce qui est du soufre, depuis 2018 la cave a changé sa manière de faire… « Les cabernets francs et les pineaux d’Aunis sont vinifiés sans sulfite jusqu’au soutirage de fin de fermentation malolactique. Le pinot noir reste lui protégé par le soufre dès la vendange » souligne le directeur de la cave. Chaque cépage est vinifié séparément. La cave utilise de levures sélectionnées. « La cuvaison s’étale sur environ 15 jours sur les pineau d’Aunis qui sont les plus concentrés, les plus mûrs, et sur 7 à 8 jours pour le pinot noir et entre 15 et 20 jours sur les cabernets francs qui présentent un bon potentiel. La température de fermentation est globalement régulée autour de 25/26 degrés, avec cependant plusieurs phases, détaille Nicolas Parmentier. On démarre sur des températures basses, puis on laisse monter jusqu’aux plus hauts degrés. Pour les vins rouges, on commence à travailler les assemblages en avril, sur paillasse avec des échantillons. Les assemblages sont ensuite réalisés fin avril, début mai. Puis les vins passent en cuve tout l’été pour être mis en bouteille avant les vendanges. »
Quid du millésime...
« 2018 était un millésime assez solaire et généreux. La vendange était à pleine maturité et le volume produit au-dessus de la moyenne. Du point de vue climatique on a ainsi eu le cumul d’une très belle qualité pour les raisins avec une capacité à murir et un bon rendement, dixit Nicolas Parmentier. Concernant le profil organoleptique, on recherche à la fois l’expression du pineau d’Aunis et ses caractéristiques en termes de fruits et d’épices. Ainsi, c’est l’assemblage de la gamme dans lequel on a le plus de cabernet franc pour avoir une structure et des rappels organoleptiques qui nous identifient bien au Val de Loire. »
Notes de dégustation
La robe brillante est de couleur rubis intense avec des reflets roses. Au nez, le vin est à la fois aromatique et complexe. Les fruits noirs murs puis le pruneau, la quetsche et des notes de poivre et d’épices apparaissent. L’attaque est franche, on a de la rondeur en bouche. Le vin s’approprie délicatement le palais et laisse paraître les tanins à la texture souple et soyeuse apportée par le pinot noir. La finale, d’une belle longueur, a des saveurs de fraise, de cannelle, de réglisse et poivre noir.
Accords mets & vins
Suffisamment complexe, puissant et tanique, on servira sans risque ce vin avec du gibier, des viandes rouges ou encore du magret de canard.
Tarif : 7€ TTC
11,5% Vol.

Cuvée Le Cocagne Gris 2022 – AOC Coteaux-du-Vendômois
Un rosé de repas 100% pineau d’Aunis
Localisation des vignes : les pieds de pineau d’Aunis de la cuvée Le Cocagne proviennent de parcelles classées en premières côtes, soit la plus qualitative des 5 terroirs de l’appellation. Les coteaux, en bordure du Loir, bénéficient d’une pleine exposition au soleil levant, idéale pour atteindre une bonne maturation. Comme pour l’essentiel de l’appellation, ces vignes sont abritées du Nord. Pour la cuvée Cocagne les équipes de la cave laissent murir longtemps les raisins pour avoir un profil de rosé vineux, structuré. La vendange est ainsi assez tardive… « C’est une des dernières parcelles à être récoltée, en même temps que celles des vins rouges, relate Nicolas Parmentier. En 2022, la récolte a été faite le 12 octobre. L’idée, c’est d’aller chercher la concentration, une maturité très aboutie, le risque, reconnait-t-il, est de perdre une certaine fraîcheur avec des raisins très mûrs ». Il n’en est rien. Le résultat à la sortie du chai est un vin gris structuré, aux arômes concentrés d’épices, avec une minéralité qui crée de la tension dans le vin.
Soulignons que le millésime 2022, marqué par une très forte canicule, a donné dans la région des vins riches, gourmands, moins acides.
Concernant la vinification, les raisins ont été pressurés pendant 3 heures dans un pressoir pneumatique, puis un débourbage statique des moûts a été réalisé pendant 8 heures. Afin de préserver les aspects aromatiques du pineau d’Aunis la fermentation, en cuves inox thermorégulées, démarrée à basse température, s'est faite pour l’essentiel à une température de 14°. Enfin, l’élevage, sur lies fines, a duré plusieurs mois. Précisons que ce vin ne touche pas le bois.
Notes de dégustation
La robe est de couleur saumon tirant vers le rose avec des reflets or, typique de l'appellation. La vin est lumineux, et sa couleur assez profonde révèle une concentration et de l’extraction qui le positionne entre le rosé et le rouge. Le nez, d’une grande complexité aromatique, est sur une dominante de fruits rouges (groseille et agrumes) et d’épices avec la présence d’arômes empyreumatiques (silex).
En bouche, l’attaque est dynamique. On retrouve des touches marquées de silex qui apportent de la vivacité. Ce Cocagne gris est croquant. Il offre de la tension et une belle structure avec un bon équilibre sucrosité/acidité. La fraîcheur et la minéralité dominent. La bouche se prolonge sur une longue finale avec des saveurs de fraise, de zeste d’orange, de poivre et de silex.
Accords mets & vin
Par sa structure et sa complexité, Le Cocagne gris 2022 est un vin qui accompagnera facilement des repas à base de poisson grillé, de porc rôti ou en sauce. Il s’accommodera aussi avec des saint jacques à la poêle ou des langouste grillées sauce au beurre.
Tarif : 6,20€ TTC
12,5% Vol.
Informations pratiques
Cave du Vendômois
60 avenue du Petit-Thouars
41100 Villiers-sur-Loir
Tél. : 02 54 72 90 69
Courriel : caveduvendomois@wanadoo.fr
Où trouver les vins
La plus importante part des ventes est réalisée au caveau (45% du CA). Les flacons sont aussi diffusés sur le réseau CHR - en circuit mi-long avec des agents sur toute la France – essentiellement sur le grand quart Nord-Ouest et en région parisienne, et en GD en centrale régionale pour Intermarché. Les vins ne sont pas référencés dans les centrales nationales.
[…] suite de notre série sur les vins des Coteaux-du-Vendômois et le pineau d’Aunis [Lire notre publication du 27/05/2023], voici un domaine, le seul de l’appellation en agriculture biodynamique, emblématique de la […]
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